Top Chef 12 : comment la production s’est adaptée pour le tournage de la guerre des restos ?

La guerre des restos, c’est ce mercredi 21 avril dans Top Chef sur M6 ! Sauf qu’à cause de la crise sanitaire, la production a dû s’adapter pour que le tournage puisse bien avoir lieu. Romuald Graveleau, producteur de Top Chef, a détaillé les mesures mises en place auprès de Télé Poche.

Stéphane Rotenberg

Chaque année, c’est le moment que les téléspectateurs de Top Chef attendent le plus : la guerre des restos. Un rendez-vous incontournable pour les fans, puisque c’est l’occasion de voir les candidats dans des conditions réelles, bien loin de l’habituel et rassurant plateau de tournage. En l’espace de quarante-huit heures, les six candidats sont répartis en binôme et devront concevoir un restaurant de A à Z, en choisissant le nom, le lieu, en faisant la décoration et en créant une carte. Un objectif loin d’être compliqué, qui se solde à chaque fois par l’élimination d’un candidat. L’an dernier, Adrien Cachot et Mallory Gabsi étaient ressortis grands vainqueurs de la guerre des restos, et avaient bluffé le jury. Cette année, les candidats vont avoir droit à une épreuve supplémentaire : la crise sanitaire. En effet, à cause de la Covid-19, les conditions chaque émission a dû s’adapter afin que les tournages puissent bien avoir lieu.

« Ils étaient chez eux et ont été livrés »

Top Chef n’est évidemment pas passée à la trappe, puisque les candidats et les membres du jury sont régulièrement testés. L’épreuve de la boîte noire a également été adaptée. Pour cet épisode de la guerre des restos, les binômes ont dû réaliser un menu à emporter, puisque les restaurants sont désormais fermés depuis plusieurs mois. Auprès de Télé Poche, Romuald Graveleau, le producteur de Top Chef, a détaillé les mesures sanitaires qui ont été mises en place.

Cette année “seuls les chefs, François-Régis Gaudry et sa comparse étaient présents sur place« . Il précise que “tous ont été testés et placés dans une bulle sanitaire trois jours avant« . Concernant les critiques gastronomiques, “ils étaient chez eux et ont été livrés« . A propos du système de “click and collect”, Romuald Graveleau laisse entendre “beaucoup de surprises et de rebondissements”. “Ce n’est pas pareil de préparer un repas dans ces conditions que de le servir directement à l’assiette« , affirme-t-il. Réponse ce mercredi 21 avril !

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